lundi 28 janvier 2008

Sommeil mon ami…..

Sommeil, vite, vite vite,
Sommeil endort nos poupons!

Le bon sens nous fait dire que le sommeil est indispensable à la récupération de la fatigue physique et de la fatigue nerveuse chez tous.
Mais il n’est pas toujours facile de savoir précisément quand l’enfant à sommeil, d’autant plus que chacun a un rythme spécifique qui évolue avec l’âge.

Dans un premier temps nous allons essayer de mieux connaître le sommeil.
L’organisme fonctionne par cycles de 1h30 à 2heures, de jour comme de nuit. Les cycles se succèdent dans la nuit autant de fois que l’organisme en a besoin pour récupérer, grandir, mûrir et accomplir des fonctions mentales importantes. Donc, même durant le sommeil, de profondes différences dans le fonctionnement du corps apparaissent : mouvements respiratoires, rythme cardiaque, amplitude et fréquence des ondes…. Tout cela se modifie. Simultanément, le corps fabrique des anticorps et l’hormone de croissance.


Quelques repères:

Un profond soupir ponctue la fin du cycle et le dormeur replonge dans un nouveau cycle de sommeil ou bien se réveille après une petite période intermédiaire.

Quelques chiffres repères :

Le plus souvent un enfant :
A la naissance dort de 16h à 19h
Vers 1 an, il dort 14h
Vers 3-4 ans, il dort 11h
Vers 10 ans, il dort 10h ou un peu moins.
Il s’agit de moyenne et non pas de règles ni de recommandations.


Avant tout, un enfant qui baille, se frotte les yeux, pleurniche, a besoin de dormir. Il est important de reconnaître ces signes avant que l’enfant ne dépasse ce stade et s’énerve. Nous pouvons favoriser son endormissement en lui donnant un rythme régulier et en instaurant progressivement certains rites tels qu’une chanson, une histoire racontée, des jeux calmes. L’adulte peut également adoucir la séparation du coucher en acceptant ce qui sécurise l’enfant : le pouce, la poupée, le doudou, la veilleuse….

Ce n’est que progressivement que l’enfant prend l’habitude de dormir toute la nuit. Parfois, dans les premiers mois de sa vie, c’est aux parents de l’aider à distinguer le jour et la nuit. Ses rythmes ne sont pas, au début de sa vie, ceux de l’adulte. Il est important de la comprendre et de l’accepter, de ne pas trop s’inquiéter de ses troubles du sommeil. Ils peuvent être fréquents mais sont, le plus souvent, sans gravité. En général, on recommande de ne pas réveiller l’enfant qui présente des troubles (terreurs nocturnes, somnambulisme…). S’ils sont nombreux, vous inquiètent, en parler à un médecin. Amis la plupart des difficultés, de sommeil de l’enfant peuvent être résolues par une meilleure compréhension de ce qu’il est en le sécurisant au maximum. La tendresse est la meilleure amie du sommeil.

Après une nuit de sommeil, tout comme après une sieste, un réveil progressif, en douceur est préférable à un réveil brutal et ce, afin de ne pas « casser » une phase de sommeil importante. Les bruits de la maison ou de l’endormissement dans lequel se trouve l’enfant favorisent un éveil spontané à un bon moment du cycle du sommeil. Un réveil calme, un bon petit déjeuner sont les garants d’une bonne forme de la journée.

Une sieste est souvent nécessaire pour compléter la nuit. En effet, jusqu’aux environs 15 mois, l’enfant à besoin de dormir le matin et l’après midi. Puis, après 15 mois une pause en début d’après midi est bénéfique pour tous. Celle-ci peut durer plus ou moins longtemps selon le besoin de récupération de l’enfant. Comme l’adulte, l’enfant très jeune peut être petit ou grand dormeur. Il est donc important de respecter son besoin de sieste.

Bien dormir c’est bien grandir. Il est donc primordiale de faire aimer le sommeil aux enfants dès leur plus jeune âge, de leur présenter de façon positive et donc de ne pas l’assimiler à une contrainte, une punition. Dormir c’est un plaisir.
L’important est de bien comprendre que le sommeil n’est pas une interruption d’activité, c’est une forme d’activité. Et plus un enfant est bien reposé, plus son moment d’éveil sera enrichissant car ne l’oublions pas, apprendre, fatigue et demande de l’énergie.

Nous pouvons conclure en nous rappelant que le seul signe d’un sommeil suffisant est la bonne forme dans la journée.


lundi 7 janvier 2008

Activités autour de noël


Chaque enfant a réalisé un petit mobil (en pâte à sel, en sablé, ou en polystyrène) pour l’accrocher dans le sapin. Après avoir confectionné le support, chacun à pu le peindre grâce à de la peinture pailleté multicolore !

Atelier gommettes : réalisation d’un sapin de noël. Par le biais d’une histoire chaque enfant a ensuite décoré son sapin en collant différentes gommettes : des gommettes argentées, dorées, jaunes, rouges, roses….

Qui dit noël, dit aussi étoiles et paillettes. Alors pourquoi ne pas réaliser des étoiles pailletées ? En mélangeant la peinture pailletée, les étoiles étaient très colorées.

Noël c’est aussi la neige, des petits bonhommes de neige ont été réalisés. La motricité fine a été beaucoup sollicitée car il a fallu habiller le bohomme de neige, lui mettre un chapeau, une écharpe, les yeux, un nez orange……

Activités autour de l’automne


Pour préparer l’automne, nous avons expérimenter la peinture sous toutes ses formes : peinture à l’éponge, avec des cotons tiges, avec les mains, les pinceaux……Ainsi, les enfants ont pu créer des couleurs comme l’orange (en mélangeant du rouge et du jaune), le marron……Petit à petit, des feuilles, des champignons, ont été réalisés au fur et à mesures des temps de rencontre lors des espaces jeux. Nous avons même essayé de peindre sur des feuilles mortes…. Ce n’est pas très évident et certains ont préféré étaler la peinture avec les doigts. Et pour clôturer ce thème chaque enfant à décorer son « arbre magique » (support fournir par Nellissa, artiste peintre)

Puis nous avons découvert la manipulation de semoule : quel plaisir de transvaser d’un récipient à un autre (cela rappelle pour certains le sable de l’été dernier !)

De parcours de motricité ont également été fait : on passe sous les tunnels, sous les tables, on saute dans la piscine à balles, on escalade les blocs moteurs…..